Le film sélectionné cette fois-ci est considéré, à raison, comme l’un des chefs-d’œuvre du 7eme art. Visuel sublime, narration intéressante, personnage complexe, décors majestueux, musique exceptionnelle, etc. il fut d’ailleurs classé 5eme dans le Cliquez pour le découvrirTop 100 de l'American Film Institute datant de 1998… et mérite sa place.
Superproduction d’aventure épique ET drame intimiste (mélange a priori improbable), ce monument relatant des évènements ayant eu lieu durant la première guerre mondiale, nous entraîne dans une incroyable traversée du désert.
Je veux évidemment parler de…
Lawrence of Arabia (Lawrence d’Arabie en VF) est un drame d’aventure introspectif datant de 1962, réalisé par David Lean d’après un scénario de Robert Bolt et Michael Wilson (validé en 1995 pour cause de blacksitage) d’après les écrits de T.E. Lawrence et avec Peter O'Toole, Alec Guinness, Anthony Quinn et Omar Sharif.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce film, voici un lien vers sa fiche IMDB : Lawrence d’Arabie (IMDB)
Aujourd’hui, ce n’est pas le fond qui m’intéresse mais bien la forme (quoi que…). Effectivement, le « plan faisant la différence » servant de fil rouge à cet article est d’une nature "physique" différente de tous les autres plans du film.
Comment cela est-il possible ?
Pour vous aider à réfléchir à cette devinette, le voici :
Avant de donner la réponse, je vais vous laisser mijoter un peu en parlant un minimum du film…
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire