Il faut que je vous parle de mon week-end... J'ai bouffé les 12 épisodes de Californication avec l'excellentissime David Duchovny. Merci à CJ pour la découverte de cette série qui est ma découverte de l'année 2007... 2007 ? Oui, car la première saison fut diffusée à partir de la fin de l'été dernier.
Je vous conseille cette série trash, déjantée, différente et tellement rafraichissante dans cette océan de fictions bien pensantes.
4 commentaires:
De quoi parle cette série au juste?
C'est le titre d'une chanson des Red Hot qui ont d'ailleurs déposés une plainte contre les producteurs pour utilisation du titre...
Quand à l'histoire, pas évident à résumer... disons que c'est l'histoire d'un écrivain célèbre qui n'arrive plus à écrire le moindre mot, qui se drogue, boit et baise tout ce qui bouge... et qui pour couronner le tout est toujours fou de son ex...
Bien sûr Indy, je veille au grain sur l'inoubliable interprète du légendaire Mulder, j'adore ce héros rebelle et torturé ; et chose rare dans le monde audiovisuel, Mulder n'est même pas mort puisqu'il se paye le luxe de revenir au cinéma aussi prochainement que bientôt. Si le scénario est à la hauteur des meilleurs épisodes fantastiques de la série, j'en espère un excellent moment de bonheur.
Pour Mills, certes il baise tout ce qui bouge, mais ce qui bouge est bien baisable - il faut le dire - et a bien envie de le baiser également :D
Je pensais bien que ça te parlerait.
Dans Californication, Duchovny ajoute à son image une bonne touche dépravée mais on lui pardonne tout ; une série familiale incorrecte, bien écrite, drôle et cynique, tendre et sexuellement épanouie.
Beaucoup de limites sont franchies ici et le culot paye.
Peut-être celle-là donc !
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