5 janvier 2008

Indy 4, quelques photos...




9 commentaires:

Anonyme a dit…
Scénarisé par David Koepp...
Enfin, ça ne peut pas être mauvais non plus...... enfin... ça ne peut pas hein ?...
Ils ne vont tout de même pas nous donner du sidekick débile comme Shia sait si mal les faire quand même ?
David Koepp...
Pour ceux qui n'auraient pas suivit, il est responsable du dernier gros nanar de tonton Speilberg, à savoir "La guerre des mondes" !
En voilà un film qui ne pouvait pas être mauvais...
Bon aller, ok, j'y crois encore un peu. Il faut reconnaitre que Indy 3 est le meilleur de la série alors pourquoi ne pas continuer sur cette lancée ?
Comment ça je ne crois pas la fin de ce que je viens de dire ?
On en reparle au moment de la première BA !!
Mills a dit…

Pour moi, mon préféré reste les aventuriers...

Anonyme a dit…
J'ai revu le 1 récemment et il a vieillit. En fait c'est une suite de deux ex machina. Quant au final, Indy est spectateur et pas acteur.
Ok, il reste de bonnes scènes, plein de trucs sympa, je ne crache pas dessus du tout.
En plus le contexte est bon, le(s) personnage(s) aussi, la réalisation et la direction artistique alors...
Mais si on enlève 5 minutes nos yeux nostalgiques pour regarder vraiment le film, on se rend compte que c'est linéaire, très simple et un peu "facile".
Un film comme ça ne passerait plus aujourd'hui.
Le trois est beaucoup plus malin pour plein de raisons que je ne vais pas détailler ici.
Enfin bon, il y a toujours de quoi discuter :-) On fera ça avec Indy en personne à l'occasion.
;-)
Anonyme a dit…
Bonsoir,
loin de moi l'idée de contredire qui que ce soit sur Indiana Jones car l'avantage d'avoir 3 films, c'est de proposer 3 versions différentes d'un même personnage. Même la mise en scène diffère d'un film à un autre! Et puis, autant le dire : impossible pour moi d'être objectif. Je crois que la naïveté du premier opus d'Indy est assumée, du scénario au montage en passant par les dialogues. Quand à la fin, quel retournement! Un personnage principal qui traverse toutes les épreuves à la force de son courage (et de sa perspicacité), qui se retrouve entravé et passif, c'est un bel exemple d'ironie dramatique, non?
Quand à Indy 4, une seule et unique chose me rassure : la présence de John Hurt au générique...
Anonyme a dit…
C'est bien beau de citer les mauvais films d'un scénariste, moi je préfère retenir les bons, du moins les scénarios "honnêtes" et pas abrutissants (il a quand même signé 3 films de Brian de Palma...)

Spider-Man (2002)
Panic Room (2002)
Stir of Echoes (1999)
Snake Eyes (1998)
Mission: Impossible (1996)
Carlito's Way (1993)
Anonyme a dit…
Haaa ! Indy prend la parole ! Après la non réponse à ma perche sur les royaumes du nord dans le post sur "Je suis une légende", je commençais à m'inquiéter :-)

Ok pour les plusieurs versions d'Indy. Je trouve aussi que c'est un plus (et finalement assez rare, c'est tellement plus facile de servir toujours la même soupe sous couvert de succès).
Je pense aussi que le kitch et la "facilité" du premier et totalement assumée. Ils souhaitaient faire une sorte de BD vivante il me semble avec nombre de retournements de situations et où l'exotisme et l'action primait sur le reste. Ils ont réussi sans aucun doute. Nous avons vraiment un héros invincible qui est confronté à plein de méchants très méchants. Après tout, pourquoi ne vouloir faire que des films pour adultes ?

Non franchement, je ne crache pas dessus du tout.

Je trouve juste que le 3 est beaucoup plus profond et assume avec ironie ses deus ex machina. Par exemple, lorsqu'ils sont coincés dans le château, Henri dit qu'il va s'assoir pour réfléchir et hop, la chaise pivote et ils sont sauvés. Il n'y a qu'à voir leurs tête pour se douter qu'ils s'amusent avec ça (et le spectateur avec).
Autre exemple caractéristique du trois : ils sont coincés dans une pièce en feu et se réfugies dans la cheminée (rien que l'idée est magnifique non ?). Bing, la cheminée pivote, ils sont sauvés... et non ! C'est limite pire de l'autre côté !
Comme dirait mon cher Lavandier, c’est « aller de Charybde en Scylla ». Ça fonctionne super bien. Il n’y a pas ce double niveau de galère dans le premier.

Je ne parlerais même pas du final beaucoup plus fin du troisième au niveau de la morale.

Pour moi, outre toutes les bonnes choses du premier, ce qui l’élève à mort dans l’inconscient collectif, c’est le dernier plan sur la salle des caisses. En ressortant on a 10 000 histoires en plus qui nous viennent en pleine tronche. Extraordinaire.

Pour revenir au climax du premier je vais faire mon kakou et répondre que c’est ironique mais que ce n’est pas vraiment une ironie dramatique :-) (Comprenne qui pourra). Ce qui est vraiment fort c’est le fait qu’il n’arrête pas de dire « ne regarde pas, ne regarde pas » et qu’en temps que spectateur, on est encore plus heureux de regarder plus !
Et puis un bon point pour le gore de cette séquence. Je me demande si c’est encore possible à l’heure actuelle. Même dans le 3, où il y a une scène identique de décomposition, le sang est ellipsé…

Enfin bref, il y a de tout dans Indy. Difficile de ne pas y trouver son compte sur les 3 films.
Anonyme a dit…
Quant à David Koepp les scénarios que tu cites sont principalement des films de réalisateurs.
Pour Spider-man il est part d’une base de Cameron quand même et Raimi est incontestablement derrière la réussite du film (si on enlève cette horrible courte scène patriotique sous le pont).
L’histoire de Panic Room n’est qu’un prétexte. L’apport visuel de Fincher est le seul véritable intérêt du film.
Stir of echoe est un bon petit film (tiré d’un livre). Le scénario est bien mieux dans son début que dans sa fin qui retombe méchamment dans le classique.
Snake eyes est avant tout bon pour les magnifiques plans séquences de De Palma.
Mission: Impossible est plus réussi d’un point de vu scénario (il y a quelques risques et une histoire bien ficelée) à mon avis même si la mise en scène est impeccable.
Quant à Carlito's Way, ok, c’est du lourd à tous les niveaux. C’est une adaptation certes mais tout de même. Je pense que sans De Palma, ça ne serait pas aussi bon cela dit.

Je ne suis pas fan de Koepp car ce qu’il fait est consensuel et sans véritable relief. C’est du scénario grand public qui n’offre aucune réflexion au spectateur. De ce point de vue, le commentaire audio de lui-même avec le scénariste de Butch Cassidy and the Sundance Kid et fort intéressant. Remarque celui de Fincher aussi :-) plus le film avance et plus il se rend compte que le scénario est faible !
Mais bon, parfois, ce prendre un film comme ça ne fait pas de mal quand même… a condition d’avoir un réalisateur en forme et des effets spéciaux de qualité.
Mais on peut toujours se retrouver avec « la guerre des mondes »…
Mills a dit…

Bah au moins mes 4 photos font parler...

;-)

Anonyme a dit…
Haaaa... Lance nous sur une discussion ciné et c'est parti !
On vient d'exploser le nombre de réponse pour un seul post :-)
 

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